Résumé :
Depuis sa rencontre avec les frères vampires Stefan et Damon Salvatore, Elena Gilbert a tout connu, de l’amour idyllique au périple en Enfer.
Maintenant qu’avec l’aide des ses amis elle a délivré leur ville natale des esprits démoniaques qui la ravageaient, peut-elle espérer un retour à la normale ? Mieux que quiconque, Elena devrait pourtant savoir que rien à Fell’s Church ne sera jamais normal. Dans ce nouveau volume, Elena se retrouve à nouveau en grand danger. Et, cette fois, elle ne peut compter que sur un seul des frères Salvatore pour la protéger.
Mon avis :
La vie est revenue à la normal à Mystic Falls. Elena a repris sa place parmi les siens, la ville a retrouvé son état, les gens ne se souviennent de rien… et pourtant. Même si les sentinelles se sont occupées de tout remettre comme avant, ça n’empêche pas tout un tas d’autres choses d’arriver. La vie n’est jamais tranquille depuis l’arrivée de Stefan et Damon dans la vie du petit groupe. Qu’est-ce qui les poursuit cette fois ? Quel genre de monstre leur en veut, et pourquoi ?
L’action est moins présente dans ce tome que dans les précédents. Il y en a quand même, mais ça part moins dans tous les sens. Plus de méchants kitsunes qui contrôlent tout et n’importe quoi, beaucoup moins de Royaume des enfers, et un peu plus de monde normal des humains. Mais notre petit groupe n’est plus vraiment lui-même. Quelque chose manipule nos personnages directement de l’intérieur de leur tête. Ils changent, ils agissent différemment.
Ce sixième livre a été écrit par un auteur autre que notre habituelle L. J. Smith. Personnellement, je n’ai pas tellement remarqué de différences. Peut-être parce que justement, à cause de l’histoire, les personnages ne sont plus les mêmes par moment. Damon est celui qui agit le plus différemment de tous et c’est probablement ce qui nous marque davantage, mais à part de ça, les choses s’acceptent bien.
Dans son ensemble, on peut dire que ce tome 6 ressemble un peu plus aux deux premiers romans de cette série. En général, plus réel (dans la mesure du possible dans une histoire fantastique) et moins tordu. C’est l’impression qu’il m’en reste.