Résumé :
Après la guerre qui a ravagé le royaume d'Hytanica, Alera doit maintenant collaborer avec leurs ennemis de toujours, les Cokyriens. Pour cela, elle pensait pouvoir compter sur l'aide de Narian, son amant élevé à Cokyri. Mais les choses ne sont pas si simples quand on est tiraillée entre amour et loyauté. Alors que son peuple se révolte sous l'impulsion de tous ceux qui lui sont proches depuis l'enfance, Alera sent sa détermination vaciller.
Pourra-t-elle tenir sa promesse d'amour et de fidélité envers Narian, qui a juré allégeance à un drapeau ennemi ? Était-ce une erreur de croire qu'ils pourraient un jour vivre leur amour au grand jour ?
Mon avis :
Le peuple Hytanicain a été vaincu par Cokyri. La grande prêtresse a laissé l’administration de la province à Alera et le commandement à Narian. Les Hytanicains devront s’adapter aux nouvelles règles et conditions de vie imposées. Mais ils ne se laisseront pas dominer sans rien faire.
Dans ce dernier tome, contrairement aux deux autres, on alterne entre l’histoire de deux personnages : Alera et Shaselle. Cette dernière se trouve être la nièce du capitaine Cannan. Sa tendance à se mettre dans le pétrin, à faire des choses qu’elle ne devrait pas, devient vite énervante. C’est à se demander si elle réfléchit avant d’agir. Pratiquement tout ce qu’elle fait se retourne contre elle et les siens, ce qui lui vaut maintes fois d’être arrêtée par les Cokyriens, ou bien punie par sa mère ou son oncle. La redondance finit par nous exaspérer.
Le troisième tome de cette saga semble superflu. Elle aurait pu tenir en deux livres et être tout aussi achevée, puisque ce dernier est légèrement décevant niveau action. Les derniers chapitres sont captivants et émouvants, ce qui en fait une belle conclusion malgré tout, mais il reste que le trois-quarts du livre est assez plat. Les relations n’évoluent que peu dans la première moitié de l’histoire, où il est principalement question de rébellion du peuple Hytanicain. Heureusement que ça change un peu plus vers la fin.
Il était tout de même agréable de retrouver les personnages auxquels on s’est attaché lors des deux livres précédents, même si on ne les voit pas autant. Le léger aperçu qu’on nous donne de Cokyri aurait mérité plus de pages et plus de descriptions, mais il nous laisse avec un sentiment de beauté, malgré tout ce qu’on aurait pu s’imaginer de ce peuple. En définitive, il manque un petit quelque chose à ce dernier tome pour qu’il soit à la hauteur des deux premiers, mais il vaut quand même la peine d’être lu, ne serait-ce que pour avoir une meilleure vue de l’évolution des relations entre les personnages.
Après la guerre qui a ravagé le royaume d'Hytanica, Alera doit maintenant collaborer avec leurs ennemis de toujours, les Cokyriens. Pour cela, elle pensait pouvoir compter sur l'aide de Narian, son amant élevé à Cokyri. Mais les choses ne sont pas si simples quand on est tiraillée entre amour et loyauté. Alors que son peuple se révolte sous l'impulsion de tous ceux qui lui sont proches depuis l'enfance, Alera sent sa détermination vaciller.
Pourra-t-elle tenir sa promesse d'amour et de fidélité envers Narian, qui a juré allégeance à un drapeau ennemi ? Était-ce une erreur de croire qu'ils pourraient un jour vivre leur amour au grand jour ?
Mon avis :
Le peuple Hytanicain a été vaincu par Cokyri. La grande prêtresse a laissé l’administration de la province à Alera et le commandement à Narian. Les Hytanicains devront s’adapter aux nouvelles règles et conditions de vie imposées. Mais ils ne se laisseront pas dominer sans rien faire.
Dans ce dernier tome, contrairement aux deux autres, on alterne entre l’histoire de deux personnages : Alera et Shaselle. Cette dernière se trouve être la nièce du capitaine Cannan. Sa tendance à se mettre dans le pétrin, à faire des choses qu’elle ne devrait pas, devient vite énervante. C’est à se demander si elle réfléchit avant d’agir. Pratiquement tout ce qu’elle fait se retourne contre elle et les siens, ce qui lui vaut maintes fois d’être arrêtée par les Cokyriens, ou bien punie par sa mère ou son oncle. La redondance finit par nous exaspérer.
Le troisième tome de cette saga semble superflu. Elle aurait pu tenir en deux livres et être tout aussi achevée, puisque ce dernier est légèrement décevant niveau action. Les derniers chapitres sont captivants et émouvants, ce qui en fait une belle conclusion malgré tout, mais il reste que le trois-quarts du livre est assez plat. Les relations n’évoluent que peu dans la première moitié de l’histoire, où il est principalement question de rébellion du peuple Hytanicain. Heureusement que ça change un peu plus vers la fin.
Il était tout de même agréable de retrouver les personnages auxquels on s’est attaché lors des deux livres précédents, même si on ne les voit pas autant. Le léger aperçu qu’on nous donne de Cokyri aurait mérité plus de pages et plus de descriptions, mais il nous laisse avec un sentiment de beauté, malgré tout ce qu’on aurait pu s’imaginer de ce peuple. En définitive, il manque un petit quelque chose à ce dernier tome pour qu’il soit à la hauteur des deux premiers, mais il vaut quand même la peine d’être lu, ne serait-ce que pour avoir une meilleure vue de l’évolution des relations entre les personnages.
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